Le sexto (ou sexting), condensé des mots « sexe » et « texto », est l’acte d’envoyer via téléphone mobile des messages ou des photographies sexuellement explicites.

Vous connaissez de ces jeunes femmes-là qui font la fête tous les weekends, et pas des moindres, jet-skis, yachts privés, restaurants huppés, plages privées, grands voyages – en solo ou avec leur bande de copines – et vous font remettre en question toute votre existence ? Non, « I am not hating ». J’ai aussi eu ma dose de dolce vita, moi aussi, mesdames. Et j’avoue que c’était 50/50. Vous comprendrez mon chiffre plus bas.

Je veux dire, mesdames, vous aussi messieurs, la grosseur, longueur, épaisseur et largeur, jouent-elles un rôle ? Cela compte-t-il dans l’acte sexuel ?

« Plus fort ! », « Encore ! », « Plus vite ! », « Banm tout afè m ! », « Je vais jouir ! » « Est-ce tout ce que tu as dans le ventre ? », et j’en passe. Les onomatopées et tout ce que nous racontons au lit dans notre beau et imagé vernaculaire. Au feu de l’acte s’ajoute un flot d’actions commandité sur paroles, ces paroles-là ! Mais serions-nous encore capable de regarder notre Jules dans les yeux le lendemain si nous possédions tous nos sens et pouvions-nous entendre [raisonnablement] pendant l’acte sexuel ? Probablement oui ! Mais pour les [fausses] prudes [comme moi], certainement pas, peut-être bien, mais avec une gêne calculée. Mais dans quelle catégorie êtes-vous ?

Y aurait-il une nuit plus stressante que celle du 13 février ? En couple ou pas, faire face au jour de l’Amour n’est jamais un passage simple. Pour avoir vécu l’expérience des deux cas, je témoigne que la nuit du 13 nous rend le cœur lourd.

Avant de commencer cette colonne, j'ai demandé à ma collègue et amie Tinker comment on dit « casual sex » en français et elle m'a lancé non sans une hésitation, « sexe en passant ».

La longue course à l'amour n'en finit jamais.

En avril 2013, je suis tombée sur un livre à Barnes and Noble, « 30 Things Every Woman Should Have and Should Know by the Time She's 30".

Mesdames, me revoilà ! Votre chère Gabrielle Jones - j'espère que vous avez quand même réalisé que c'est un nom d'emprunt ! Je sais que vous vous posez toutes sortes de questions sur le sujet.